Si je devais résumer le projet GresiWork...
je dirais que c'est d'abord des rencontres...
Lors de mon arrivée dans la vallée du Grésivaudan en isère, j'ai fait la rencontre exceptionnelle d'une personne qui a été l'étincelle "et si c'était possible" dans le projet GresiWork, je vous laisse lire son témoignage :
"Je m’appelle Hugues de Vaulx. Passionné par le sens et l’organisation du travail, j’ai pris du plaisir à accompagner la création de différents espaces de travail partagé : l’Usine à Belfort devenue la 5D, club Melchior à Charly, réseau coworking de la métropole de Lyon, Uto-pic à Autrans, la cocotte des Adrets. Lors de ce dernier projet accompagné par la communauté de communes du Pays du Grésivaudan, j’ai eu la chance de rencontrer Jérémy, qui a réalisé avec talent toute l’identité et la communication visuelle de ce bel espace de travail partagé.
En découvrant son propre projet, GrésiWork, j’ai tout de suite eu un coup de foudre pour
son idée. Quoi de mieux que de pouvoir prendre un peu de hauteur pour mieux travailler et
partager depuis les beaux arbres du Parc Naturel Régional de Chartreuse ?
Aujourd’hui, je vis en Inde, à New Delhi, avec ma famille. Cette décision d’expatriation a été prise en famille lors d’un week end dans les Bauges, où nous logions… dans des cabanes
perchées dans des arbres. J’ai eu la chance de découvrir récemment que dans la culture
Hindoue, tout arbre est sacré. Ainsi, il n’est pas rare, de découvrir en Inde, à côté des arbres centenaires, un temple ou des statues divines. Ci-dessous par exemple, deux photos d’arbres bicentenaires, bien vivant et vénérés, en plein cœur de New Delhi. Alors, si les arbres sont sacrés comme le pensent les Hindous, faisons confiance à Jérémy pour réussir à créer en Chartreuse, là-haut dans les arbres, le meilleur environnement de travail possible.
Merci Jérémy de porter ce beau projet. Merci à tous de rendre possible GrésiWork."
Hugues de Vaulx
Pour info Hugues vous aide à raconter l’essentiel de vos histoires de vies de façon unique, originale et innovante. En valorisant vos récits à travers des écrits et des photos sur un livre "augmenté" par des podcasts et vidéos. Rendez-vous sur son site :
Le lieu, le plateau de la Puce
Le lieu.
Le lieu potentiel se trouve à Chapareillan, une commune située dans le département de l'Isère, dans la vallée du Grésivaudan, à la limite du département de la Savoie, à 16 km au sud-est de Chambéry et 42 km au nord-est de Grenoble, juste sous le Mont Granier, premier contrefort du massif de la Chartreuse.
Elle s'étend de l'Isère (altitude 244 m) au sommet du Mont Granier (1 934 m), sur plus de 3 000 ha.
À 5 minutes du centre-ville, en remontant la route qui part au col du Granier, au coeur de la forêt communale, se trouve un lieu de balade, et un sentier découverte. C'est le plateau de la Puce. Un lieu préservé et sauvage.
Avec l'implantation de GresiWork l'idée serait de valoriser ce lieu et de sensibiliser le monde professionnel à l'environnement naturel qui nous entoure et aux bénéfices qu'il peut apporter.
Jérémy
L'origine du concept
Par mon activité de graphiste freelance et après avoir fréquenté de nombreux espaces de coworking qui ne proposaient rien d'autre que des "bureaux entre quatre murs", je me suis rendu compte que je n'avais besoin que de mon ordinateur et le partage de connexion sur mon smartphone pour travailler, et je me suis mis à aller explorer des environnements différents.
J'ai commencé en terrasse, puis dans mon jardin, dans les parcs, dans les champs, au bord des rivières et enfin en pleine forêt et je me suis rendu compte que mon activité devenait exaltante, mon inspiration se démultipliait et ma productivité augmentait... Au passage j'ai redécouvert cette Nature et je me rendais compte que j'en étais coupé trop souvent, j'avais envie de la connaître plus, de la valoriser et la protéger.
Et j'ai commencé à rêver... si on allait plus loin, pourquoi ne pas s'immerger complètement dans un bureau qui profiterait de cet environnement inspirant plutôt que de s'en contenter les week-ends de promenade en famille ? Pourquoi ne pas ouvrir au quotidien professionnel cette beauté dont on se tient trop éloigné, mais qui pourtant nous est essentiel de préserver ? Pourquoi ne pas en profiter pour mettre en valeur ces sensations qui nous permettent de retrouver notre propre Nature d'être humain et retravailler avec sens ? Et pourquoi pas même, s'approprier ces nouvelles pratiques pour explorer d'autres façons de vivre, plus innovantes et plus humaines ?